Le dossier à la coupe de France du Potager a été envoyé !
Le potager de Pok Pok
Parce que revenir à l’essentiel, au vivant, n’est plus une option mais une urgence éducative. Le potager, c’est une réponse concrète à un besoin profond que les élèves expriment sans toujours le dire : celui de toucher, sentir, comprendre, coopérer. Participer à la Coupe, c’était semer l’idée qu’apprendre peut (et doit) aussi passer par la terre, le cœur et les mains.
Nous avons participé à plusieurs rubrique
- « Mon Bô Potager »
Notre potager, c’est plus qu’un bout de terre : c’est un terrain d’aventures où l’on patouille, plante, flâne, désherbe en chantant et refait le monde à l’ombre des bois d’arnette. On y trouve des coins pour discuter, rêver… et créer !
Il est si beau qu’il inspire l’art : cyanotypes au soleil, projet land’art « herbiers artistiques et fantastiques » ont fleuri grâce à lui.
Reconnaître, nommer pour mieux protéger à travers le Land’art
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C’est un lieu pour flâner, discuter, rêver : 
Des mots ont été écrits pour notre Bô potager :
🎵 « Dans le potager de Pok Pok » 🎵
Dans le potager de Pok Pok,
Les enfants plantent à leur rythme (tape des mains),
Des patates douces, des passions…,
Des idées aussi, en chanson (claquement de langue)!
(Refrain)
Curieux, débrouillards, main dans la main,
Ils cultivent l’esprit éco-citoyen !
Et grâce à la Coupe du Potager,
On s’est dépassés sans même y penser (tape des mains)!
Un vent d’énergie, un défi motivant,
Pour faire fleurir les cœurs et les talents (claquement de langue).
- « Sauvons les sols »On a mis les bouchées doubles pour protéger les sols : paillage, observation, discussions… Le sol, on l’a traité comme un trésor vivant, abri et garde-manger pour les auxiliaires.
Et dans la classe, notre lombricomposteur est devenu un vrai prof à lui tout seul ! Les élèves y apprennent à reconnaître, respecter et cohabiter avec les petites bêtes qui font le grand boulot.
Bien sur le sol et les plantes ont été nourris de lombrithé, lombricompost et compost fait école ! Ce qui nous a pas empêché de donner des vers à Cycléa..
- « Quelle débrouillardise ! »
Le terrain est sec, aride, presque lunaire… On a paillé avec espoir, mais entre le jardinier qui ratisse tout, les ouvriers zélés, et la valse des intervenants, notre sol s’est retrouvé plus western que permaculture !
Côté équipe, le temps des maîtresses n’est pas extensible — Einstein l’a prouvé : E = MC², mais sans M pour « maîtresse », rien ne pousse ! Alors on a confié le potager à Pok Pok l’épouvantail… et étonnamment, il s’en est plutôt bien sorti.
Papayer planté en septembre 2024
Et puis en juin 2025 Vive le lombrithé ! 