Le jardin de Fleurs Jaunes à la Possession

21 juin 2019
Mario Hoarau↗

Cet article a été écrit par les élèves accompagnés de leurs enseignants, dans le cadre des projets Lékol’O - Réduisons nos déchets organiques sur le territoire de la côte Ouest.
×

La classe de CE1 de Mme Bivaud et la classe d’Ulis école de Mme ALBERT sont allés au jardin de Fleurs Jaunes à la Possession. En effet dans l’école, 2 classes ont mis en place un lombricomposteur et en ont fait bénéficier les autres classes de l’école.

C’était intéressant mais le lombricomposteur de l’école est petit et on ne peut pas y mettre beaucoup de déchets…Alors comment cela fonctionne vraiment  quand  on a beaucoup de déchets?

Nous nous sommes rendus au Jardin de Fleurs Jaunes. C’était bizarre pour un jardin, il était entre 2 immeubles. L’équipe qui nous a accueilli nous a présenté leur potager. Il a fallu reconnaître les plantes, il y avait des légumes et des plantes aromatiques. On a senti et touché certaines plantes pour les reconnaître. On a appris que certaines plantes pouvaient nous soigner. Puis nous sommes arrivés à l’endroit où il faisait leur compost. C’était des grands barils. On a appris qu’il y avait les “déchets verts” et les “déchets marrons”. Les déchets verts sont tout ce qui est humide (les épluchures de légumes, de fruits, le marc de café…) et les déchets marrons sont tout ce qui est sec (les feuilles mortes, le carton, le bois..). On peut mettre les 2 dans un composteur.

Ensuite, on a vu tous les “habitants du composteurs”: des vers de terre, des larves de cétoines, des cloportes, des asticots, des cafards.. et il y en a qui sont tellement petits qu’on ne peut pas les voir.

Et après tous ces déchets deviennent du compost que l’on pourra mettre aux pieds des plantes pour qu’elles soient en bonne santé.

Faire du compost, cela permet de mettre moins de déchets dans la poubelle et d’avoir de plus belles plantes.

Ensuite, on est allé faire des semis de légumes que l’on a ramené à l’école. Et ils nous ont offert un bac pour planter nos légumes quand les graines auront poussé.

C’est ce que nous avons fait la semaine suivante. Nous avons rempli les bacs avec de la terre et du compost (pas le nôtre mais celui de la déchetterie). Puis nous avons planté nos plants de légumes et arrosé.

Avant de partir, l’équipe nous a appris une chanson pour sauver la planète. On a aussi mangé du gâteau patates (fait avec les patates de leur jardin) et bu de la tisane de citronnelle fraîche et de la tisane de menthe fraîche (de leur jardin).

Mario Hoarau
Saint-Leu

Si rien ne disparaît tout se transforme